Diritto internazionale 0.7 Lavori pubblici - Energie - Trasporti e comunicazioni 0.74 Trasporti e comunicazioni
Droit international 0.7 Travaux publics - Énergie - Transports et communications 0.74 Transports et communications

0.748.127.191.18 Accordo aereo dell' 8 maggio 2007 tra il Consiglio federale svizzero e il Governo della Repubblica del Sudafrica (con allegato)

0.748.127.191.18 Accord de transport aérien du 8 mai 2007 entre le Conseil fédéral suisse et le Gouvernement de la République d'Afrique du Sud (avec annexe)

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Art. 16 Sicurezza dell’aviazione

1.  Conformemente ai diritti e agli obblighi loro derivanti in virtù del diritto internazionale, le Parti riaffermano che l’obbligo reciproco di proteggere la sicurezza dell’aviazione civile dagli atti di intervento illeciti è parte integrante del presente Accordo.

2.  Senza derogare all’insieme dei loro diritti e obblighi in virtù del diritto internazionale, le Parti agiscono in particolare conformemente alle disposizioni della Convenzione concernente le infrazioni e taluni altri atti commessi a bordo di aeromobili, firmata a Tokyo il 14 settembre 19633, della Convenzione per la repressione della cattura illecita di aeromobili, firmata all’Aia il 16 dicembre 19704, della Convenzione per la repressione di atti illeciti contro la sicurezza dell’aviazione civile, firmata a Montreal il 23 settembre 19715, e di ogni altra convenzione relativa alla sicurezza dell’aviazione civile alla quale le Parti sono vincolate.

3.  Le Parti si accordano mutuamente, su richiesta, tutta l’assistenza necessaria per prevenire gli atti di cattura illecita di aeromobili civili e altri atti illeciti diretti contro la sicurezza di detti aeromobili, dei loro passeggeri e membri d’equipaggio, degli aeroporti e delle installazioni di navigazione aerea, nonché qualsiasi altra minaccia per la sicurezza dell’aviazione civile.

4.  Nei loro rapporti reciproci, le Parti si conformano alle disposizioni relative alla sicurezza dell’aviazione stabilite dall’Organizzazione dell’aviazione civile internazionale e designate come Allegati alla Convenzione, per quanto queste disposizioni si applichino ad entrambe le Parti.

5.  Le Parti esigono che gli esercenti degli aeromobili immatricolati nei loro registri o che hanno la sede principale delle proprie attività o la loro residenza permanente sul loro rispettivo territorio, nonché gli esercenti di aeroporti situati sui loro territori, si conformino a dette disposizioni valide per entrambe le Parti concernenti la sicurezza dell’aviazione.

6.  Ciascuna Parte conviene che detti esercenti siano tenuti a osservare, nei loro Paesi rispettivi, le leggi e i regolamenti relativi alla sicurezza dell’aviazione di cui al paragrafo 4 richiesti al momento dell’entrata, dell’uscita o durante il soggiorno sul territorio dell’altra Parte. Ciascuna Parte provvede affinché vengano applicati in modo efficace sul suo territorio provvedimenti appropriati per proteggere gli aeromobili e per garantire l’ispezione dei passeggeri, dei membri d’equipaggio, dei bagagli a mano, dei bagagli, delle merci e delle provviste di bordo, prima dell’imbarco e durante esso o il carico. Ciascuna Parte esamina inoltre di buon grado qualsiasi richiesta dell’altra Parte allo scopo di ottenere l’adozione di ragionevoli misure di sicurezza speciali sul suo territorio per fronteggiare una particolare minaccia per l’aviazione civile.

7.  In caso di incidente o di minaccia d’incidente per cattura illecita di aeromobili civili, o di altri atti illeciti diretti contro la sicurezza di detti aeromobili, dei loro passeggeri e membri d’equipaggio, degli aeroporti o delle attrezzature e dei servizi di navigazione aerea, le Parti si assistono reciprocamente facilitando il traffico reciproco e altri provvedimenti appropriati per porre fine con rapidità e sicurezza a un tale incidente o al pericolo di un simile incidente, con il minor rischio possibile per le vite umane.

8.  Se una Parte ha ragionevoli motivi di credere che l’altra Parte deroghi alle disposizioni di sicurezza del presente articolo, l’autorità aeronautica di questa prima Parte può domandare consultazioni immediate con le autorità aeronautiche dell’altra Parte. Se entro quindici giorni dalla data di una tale domanda non pervengono a un accordo soddisfacente, sussiste un motivo sufficiente per applicare il paragrafo 1 dell’articolo 4. Se una situazione d’emergenza lo esige, una Parte può prendere provvedimenti unilaterali nel senso di questo paragrafo prima che siano trascorsi quindici giorni. Tutte le misure adottate conformemente a questo paragrafo sono abrogate non appena l’altra Parte soddisfa le disposizioni di sicurezza di questo articolo.

Art. 16 Sûreté de l’aviation

1.  Conformément à leurs droits et obligations en vertu du droit international, les Parties contractantes affirment que leur obligation de protéger, dans leurs rapports mutuels, l’aviation civile contre les actes d’intervention illicite, pour en assurer la sûreté, fait partie intégrante du présent Accord.

2.  Sans déroger à l’ensemble de leurs droits et obligations en droit international, les Parties contractantes se conforment en particulier aux dispositions de la Convention relative aux infractions et à certains actes survenant à bord des aéronefs3 signé à Tokyo le 14 septembre 1963, de la Convention pour la répression de la capture illicite d’aéronefs4, signée à La Haye le 16 décembre 1970, de la Convention pour la répression d’actes illicites dirigés contre la sécurité de l’aviation civile5, signée à Montréal le 23 septembre 1971 et tout autre accord multilatéral concernant la sûreté de l’aviation civile liant les deux Parties contractantes.

3.  Les Parties contractantes s’accordent mutuellement, sur demande, toute l’assistance nécessaire pour prévenir les détournements d’aéronefs civils et autres actes illicites dirigés contre la sécurité de ces aéronefs, de leurs passagers et de leurs équipages, des aéroports et des installations et services de navigation aérienne, ainsi que toute autre menace pour la sûreté de l’aviation civile.

4.  Les Parties contractantes, dans leurs rapports mutuels, se conforment aux dispositions relatives à la sûreté de l’aviation établies par l’Organisation de l’aviation civile internationale et désignées comme Annexes à la Convention, dans la mesure où ces dispositions s’appliquent aux deux Parties contractantes.

5.  Les Parties contractantes exigent des exploitants d’aéronefs immatriculés par elles, ou des exploitants qui ont le siège principal de leur exploitation ou leur résidence permanente sur leurs territoires respectifs et des exploitants d’aéroport situés sur leurs territoires respectifs qu’ils se conforment aux dispositions relatives à la sûreté de l’aviation applicables aux deux Parties contractantes.

6.  Chaque Partie contractante convient que ces exploitants d’aéronefs peuvent être tenus d’observer les dispositions relatives à la sûreté de l’aviation dont il est question au ch. 4 du présent article et que l’autre Partie contractante prescrit pour l’arrivée, le départ ou le séjour sur le territoire de cette autre Partie contractante. Chaque Partie contractante veille à ce que des mesures adéquates soient appliquées efficacement sur son territoire pour protéger les aéronefs et pour assurer l’inspection des passagers, des membres d’équipage, des bagages à main, des bagages, des marchandises et des provisions de bord, avant et pendant l’embarquement ou le chargement. Chaque Partie contractante examine aussi favorablement toute demande que lui adresse l’autre Partie contractante en vue d’obtenir que des mesures spéciales de sûreté raisonnables soient prises pour faire face à une menace particulière.

7.  En cas d’incident ou de menace d’incident de capture illicite d’aéronefs civils ou d’un autre acte illicite dirigé contre la sécurité de ces aéronefs, de leurs passagers et de leurs équipages, des aéroports ou des installations et services de navigation aérienne, les Parties contractantes s’entraident en facilitant les communications et autres mesures appropriées, destinées à mettre fin aussi rapidement que possible à cet incident ou à cette menace d’incident, au moindre risque en vie humaine.

8.  Lorsqu’une Partie contractante a des motifs raisonnables de croire que l’autre Partie contractante déroge aux dispositions du présent article, l’autorité aéronautique de la première Partie contractante peut demander l’engagement immédiat de négociations avec l’autorité aéronautique de l’autre Partie contractante. L’absence d’accord satisfaisant dans les quinze jours suivant le début desdites consultations constituera un motif pour appliquer l’art. 4, ch. 1. Si l’urgence l’exige, une Partie contractante peut prendre des mesures conformément à ce chiffre avant l’échéance des quinze jours. Toute mesure appliquée par une Partie contractante en conformité avec le présent chiffre sera rapportée dès que l’autre Partie contractante se sera conformée aux dispositions relatives à la sûreté contenue dans le présent article.

 

Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.