Internationales Recht 0.9 Wirtschaft - Technische Zusammenarbeit 0.92 Forstwesen. Jagd. Fischerei
Droit international 0.9 Économie - Coopération technique 0.92 Forêts. Chasse. Pêche

0.923.411 Vertrag vom 2. November 1977 zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und dem Land Baden-Württemberg über die Fischerei im Untersee und Seerhein (Unterseefischereiordnung) (mit Anlagen und Prot.)

0.923.411 Accord du 2 novembre 1977 entre la Confédération suisse et le Pays de Bade-Wurtemberg sur la pêche dans le lac Inférieur de Constance et le Rhin lacustre (Règlement sur la pêche dans le lac Inférieur) (avec annexes et protocole)

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Art. 26 Bewirtschaftung

(1)  Die Vertragsstaaten verpflichten sich,

1.
zur Sicherstellung des notwendigen künstlichen Fischeinsatzes im Geltungsbereich dieses Vertrages Brut‑ und Aufzuchtanlagen zu betreiben oder betreiben zu lassen, und
2.
nach Massgabe des innerstaatlichen Rechts besondere Massnahmen zum Schutze und zur Förderung (Schonmassnahmen) zu treffen, soweit dies zur Erhaltung des Fischbestandes erforderlich ist. Soweit dadurch die Fischereiausübung im Gebiet der allgemeinen Fischerei beschränkt wird, bedürfen die Massnahmen der Zustimmung des anderen Vertragsstaates.

(2)  Zur Sicherstellung einer geordneten fischereilichen Bewirtschaftung vereinbaren die Bevollmächtigten für den Zeitraum von ein bis fünf Jahren einen gemeinsamen Bewirtschaftungsplan über

1.
Art und Umfang des künstlichen Fischeinsatzes durch die Vertragsstaaten und Dritte, die sich freiwillig am künstlichen Fischeinsatz beteiligen,
2.
Umfang des zulässigen Fischfangs aufgrund der einzelnen privaten Fischereirechte und der Fischerkarten,
3.
Höchstzahl der für das einzelne Fischereirecht und ein einzelnes Reis zulässigen Ermächtigungen im Sinne von § 4 Absatz 1,
4.60
Massnahmen gegen das Überhandnehmen bestimmter Fischarten.

Die Inhaber der privaten Fischereirechte und die Fischereikommission sind vorher anzuhören.

(3)  Die Vereinbarungen nach Absatz 2 bedürfen zur Inkraftsetzung der gegenseitigen schriftlichen Bestätigung durch die zuständigen Stellen der Vertragsstaaten.

(4)  Der künstliche Fischeinsatz darf nur mit Einwilligung eines von den Vertragsstaaten bestellten Fischereiaufsehers vorgenommen werden. Zur Vermeidung der Verschleppung von übertragbaren Fischkrankheiten und zur Erhaltung der genetischen Identität des Fischbestands dürfen nur solche Fische eingesetzt werden, die aus Fortpflanzungsmaterial aus dem Bodensee erbrütet worden sind sofern die Bevollmächtigten nicht etwas anderes vereinbaren. Der Einsatz nicht einheimischer Fisch‑ und Krebsarten darf nur im Einvernehmen beider Vertragsstaaten vorgenommen werden; dies gilt auch für Fische heimischer Arten, die durch biotechnische oder gentechnische Eingriffe in ihrem Erbgut verändert wurden.61

(5)  Als Köderfische dürfen nur im Bodensee gefangene Weissfische verwendet werden.62

60 Fassung gemäss Ziff. I des Vertrages vom 19. Nov. 1991, in Kraft seit 1. Juli 1992 (AS 1992 1718).

61 Fassung gemäss Ziff. I des Vertrages vom 19. Nov. 1991, in Kraft seit 1. Juli 1992 (AS 1992 1718).

62 Fassung gemäss Ziff. I des Vertrages vom 19. Nov. 1991, in Kraft seit 1. Juli 1992 (AS 1992 1718).

Art. 26 Exploitation piscicole

(1)  Les Etats contractants s’engagent

1.
à exploiter ou à faire exploiter des stations d’incubation et d’élevage aux fins d’assurer l’immersion de poissons dans les eaux auxquelles s’applique le présent accord, et
2.
conformément au droit interne, à prendre des mesures particulières visant à protéger et à encourager les peuplements de poissons, pour autant que le maintien de ces peuplements l’exige. S’il en résulte une limitation de l’exercice de la pêche dans le territoire de la pêche générale, ces mesures doivent être approuvées par l’autre Etat contractant.

(2)  Aux fins d’assurer une bonne exploitation piscicole, les plénipotentiaires établissent d’un commun accord, pour une période d’un à cinq ans, un plan de gestion concernant

1.
les espèces et la quantité de poissons immergés par les Etats contractants et des tiers qui participent bénévolement à cette activité,
2.
la quantité de poissons pouvant être capturés en vertu des divers droits de pêche privés et des cartes de légitimation pour pêcheurs,
3.
le nombre maximum des autorisations, au sens du § 4, al. 1, afférentes à chaque droit de pêche et à chaque parc,
4.58
les mesures contre la prolifération de certaines espèces de poissons.

Les titulaires des droits de pêche privés et la Commission de la pêche seront préalablement consultés.

(3)  Pour pouvoir entrer en vigueur, les arrangements intervenus selon l’al. 2 doivent avoir été confirmés par échange de lettres entre les services compétents des Etats contractants.

(4)  L’immersion de poissons ne peut avoir lieu qu’avec l’autorisation d’un garde‑ pêche désigné par les Etats contractants. Pour éviter la propagation des maladies transmissibles de poissons et conserver l’identité génétique des peuplements, seuls pourront être immergés des poissons nés en incubation à partir de produits géniteurs prélevés sur des sujets du lac de Constance, pour autant que les plénipotentiaires n’en décident pas différemment. Un Etat contractant ne peut immerger des espèces de poissons et d’écrevisses non indigènes qu’après entente avec l’autre; cela s’applique également à des espèces indigènes de poissons qui ont été modifiées dans leur patrimoine génétique par des interventions biochimiques ou de technique génétique.59

(5)  Seuls peuvent être utilisés comme poissons‑appâts des poissons blancs pêchés dans le lac de Constance.60

58 Nouvelle teneur selon le ch. I de l’Ac. du 19 nov. 1991, en vigueur depuis le 1er juil. 1992 (RO 1992 1718).

59 Nouvelle teneur selon le ch. I de l’Ac. du 19 nov. 1991, en vigueur depuis le 1er juil. 1992 (RO 1992 1718).

60 Nouvelle teneur selon le ch. I de l’Ac. du 19 nov. 1991, en vigueur depuis le 1er juil. 1992 (RO 1992 1718).

 

Dies ist keine amtliche Veröffentlichung. Massgebend ist allein die Veröffentlichung durch die Bundeskanzlei.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.