Droit international 0.7 Travaux publics - Énergie - Transports et communications 0.74 Transports et communications
Diritto internazionale 0.7 Lavori pubblici - Energie - Trasporti e comunicazioni 0.74 Trasporti e comunicazioni

0.748.710.5 Convention du 10 septembre 2010 sur la répression des actes illicites dirigés contre l'aviation civile internationale

0.748.710.5 Convenzione del 10 settembre 2010 per la repressione di atti illeciti contro l'aviazione civile internazionale

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Art. 12

1.  Les infractions visées à l’art. 1er sont de plein droit comprises comme cas d’extradition dans tout traité d’extradition conclu entre États parties. Les États parties s’engagent à comprendre ces infractions comme cas d’extradition dans tout traité d’extradition à conclure entre eux.

2.  Si un État partie qui subordonne l’extradition à l’existence d’un traité est saisi d’une demande d’extradition par un autre État partie avec lequel il n’est pas lié par un traité d’extradition, il a la latitude de considérer la présente Convention comme constituant la base juridique de l’extradition en ce qui concerne les infractions visées à l’art. 1er. L’extradition est subordonnée aux autres conditions prévues par le droit de l’État requis.

3.  Les États parties qui ne subordonnent pas l’extradition à l’existence d’un traité reconnaissent les infractions visées à l’art. 1er comme cas d’extradition entre eux dans les conditions prévues par le droit de l’État requis.

4.  Chacune des infractions est considérée aux fins d’extradition entre États parties comme ayant été commise tant au lieu de sa perpétration que sur le territoire des États parties tenus d’établir leur compétence en vertu des al. (b), (c), (d) et (e) du par. 1 de l’art. 8 et qui ont établi leur compétence en vertu du par. 2 de l’art. 8.

5.  Les infractions visées aux al. (a) et (b) du par. 5 de l’art. 1er sont, aux fins d’extradition entre États parties, traitées comme équivalentes.

Art. 12

1.  I reati di cui all’articolo 1 sono inclusi di pieno diritto come casi di estradizione in ogni trattato di estradizione concluso fra Stati Parte. Gli Stati Parte si impegnano a considerare questi reati come casi d’estradizione in ogni trattato d’estradizione che verrà concluso tra di loro.

2.  Se uno Stato Parte che subordina l’estradizione all’esistenza di un trattato riceve una domanda d’estradizione da un altro Stato Parte con cui non ha concluso un trattato d’estradizione, esso ha facoltà di considerare la presente Convenzione quale base giuridica dell’estradizione per quanto concerne i reati di cui all’articolo 1. L’estradizione è subordinata alle altre condizioni previste dal diritto dello Stato richiesto.

3.  Gli Stati Parte che non subordinano l’estradizione all’esistenza di un trattato riconoscono i reati di cui all’articolo 1 come caso d’estradizione fra di loro alle condizioni previste dal diritto dello Stato richiesto.

4.  Fra Stati Parte ciascuno dei reati è considerato commesso, agli scopi dell’estradizione, tanto nel luogo in cui fu perpetrato quanto sul territorio degli Stati Parte obbligati a stabilire la propria competenza giusta l’articolo 8 paragrafo 1 lettere (b), (c), (d) ed (e) e che hanno stabilito la propria competenza giusta l’articolo 8 paragrafo 2.

5.  I reati di cui all’articolo 1 paragrafo 5 lettere (a) e (b), ai fini dell’estradizione tra Stati Parte, sono considerati equivalenti.

 

Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.
Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.