Droit international 0.7 Travaux publics - Énergie - Transports et communications 0.74 Transports et communications
Diritto internazionale 0.7 Lavori pubblici - Energie - Trasporti e comunicazioni 0.74 Trasporti e comunicazioni

0.748.127.194.23 Accord du 2 mai 2001 entre le Conseil fédéral suisse et le Gouvernement de la République de l'Inde relatif au trafic aérien de lignes (avec annexe)

0.748.127.194.23 Accordo del 2 maggio 2001 tra il Consiglio federale svizzero e il Governo della Repubblica dell'India concernente il traffico aereo di linea (con all.)

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Art. 8 Sécurité

1.  Chaque Partie contractante reconnaît, aux fins de l’exploitation des services aériens convenus visés dans le présent Accord, la validité des certificats de navigabilité, des brevets d’aptitude et des licences délivrés ou validés par l’autre Partie contractante et qui sont encore en vigueur, sous réserve que les conditions d’obtention de ces certificats, brevets et licences soient égales ou supérieures aux normes minimales qui peuvent être établies en application de la Convention.

2.  Chaque Partie contractante peut cependant ne pas reconnaître, pour le survol de son propre territoire, la validité des brevets d’aptitude et des licences accordés à ses propres ressortissants ou validés par l’autre Partie contractante ou par tout autre État.

3.  L’une ou l’autre Partie contractante peut demander des consultations au sujet des normes de sécurité adoptées par rapport à une entreprise désignée par l’autre Partie contractante relativement aux installations et services aéronautiques, aux équipages de conduite, aux aéronefs et à l’exploitation des entreprises désignées. Ces consultations auront lieu dans les 30 jours suivant la demande.

4.  Si, à la suite de ces consultations, une Partie contractante découvre que l’autre Partie contractante n’adopte ni n’assure effectivement le suivi de normes de sécurité dans les domaines visés à l’al. 1 qui satisfassent aux normes établies à ce moment conformément à la Convention, l’autre Partie contractante sera informée de ces conclusions et des démarches qui sont estimées nécessaires afin de se conformer à ces normes minimales et l’autre Partie contractante prendra les mesures correctives appropriées.

5.  Conformément à l’art. 16 de la Convention, il est convenu en outre que tout aéronef exploité par une entreprise de transport aérien d’une Partie contractante ou en son nom, en provenance ou à destination du territoire de l’autre Partie contractante, peut, lorsqu’il se trouve sur le territoire de l’autre Partie contractante, faire l’objet d’une inspection sur l’aire de trafic par les représentants autorisés de cette autre Partie contractante, à condition que cela n’entraîne pas de retard déraisonnable dans l’exploitation de l’aéronef. Nonobstant les obligations mentionnées à l’art. 33 de la Convention, l’objet de cette inspection sur l’aire de trafic est de vérifier la validité des documents pertinents, les licences de son équipage et que l’équipement de l’aéronef et son état sont conformes aux normes en vigueur conformément à la Convention.

6.  En cas de déficiences de sécurité persistantes d’une entreprise désignée de l’autre Partie contractante et lorsqu’une action immédiate est indispensable pour assurer la sécurité de l’exploitation d’une entreprise de transport aérien, chacune des Parties contractantes se réserve le droit de suspendre ou de modifier immédiatement l’autorisation d’exploitation d’une ou des entreprises de transport aérien de l’autre Partie contractante.

7.  Toute mesure appliquée par une Partie contractante en conformité avec l’al. 6 sera rapportée dès que la cause à la base de cette mesure aura cessé d’exister.

10 Nouvelle teneur selon l’art. 4 du Prot. du 11 mars 2020, en vigueur depuis le 1er juil. 2021 (RO 2021 521; 2022 271).

Art. 8 Sicurezza tecnica

1.  Per l’esercizio dei servizi aerei previsti nel presente Accordo, ciascuna Parte riconosce come validi i certificati di navigabilità, i brevetti di idoneità e le licenze rilasciati o convalidati dall’altra Parte e ancora validi, a condizione che i requisiti richiesti per ottenere questi documenti corrispondano almeno ai requisiti minimi stabiliti in base alla Convenzione.

2.  Ciascuna Parte può tuttavia rifiutare di riconoscere, per i voli effettuati sopra il suo territorio, i brevetti di idoneità e le licenze rilasciati ai suoi cittadini dall’altra Parte o da uno Stato terzo, o convalidati dall’altra Parte o da uno Stato terzi per detti cittadini.

3.  Ciascuna Parte può chiedere consultazioni sugli standard di sicurezza adottati da un’impresa designata dall’altra Parte per le attrezzature e i servizi aeronautici, l’equipaggio, gli aeromobili e l’esercizio. Tali consultazioni devono svolgersi entro un termine di trenta giorni dal ricevimento della domanda.

4.  Se dopo tali consultazioni una Parte constata che l’altra Parte non osserva né applica efficacemente gli standard di sicurezza nei settori di cui al numero 1 del presente articolo che adempiono i requisiti minimi stabiliti in base alla Convenzione, la Parte interessata notifica all’altra Parte tali constatazioni e i passi necessari per adempiere i requisiti minimi e l’altra Parte deve adottare le opportune misure correttive.

5.  Conformemente all’articolo 16 della Convenzione, è inoltre convenuto che ogni aeromobile esercitato da un’impresa designata da una Parte, oppure a suo nome, per servizi aerei da o verso il territorio dell’altra Parte, durante la permanenza su detto territorio può essere oggetto di un’ispezione di rampa da parte dei rappresentanti autorizzati dell’altra Parte, a condizione che l’ispezione non causi ritardi indebiti all’esercizio dell’aeromobile. A prescindere dagli obblighi di cui all’articolo 33 della Convenzione, tale ispezione di rampa mira a verificare la validità dei documenti necessari, le licenze degli equipaggi e la conformità delle attrezzature dell’aeromobile e del loro stato con gli standard di sicurezza previsti in quel momento sulla base della Convenzione.

6.  In caso di persistenti lacune nella sicurezza di un’impresa designata dall’altra Parte e se sono necessarie misure urgenti per garantire la sicurezza di un’operazione di volo, ciascuna Parte si riserva il diritto di sospendere o modificare immediatamente l’autorizzazione d’esercizio di una o più imprese designate dall’altra Parte.

7.  Tutte le misure adottate da una Parte conformemente al numero 6 sono revocate non appena vengono a mancare i motivi che ne hanno richiesto l’adozione.

10 Nuovo testo giusta l’art. 4 del Prot. dell’11 mar. 2020, in vigore mediante scambio di note dal 1° lug. 2021 (RU 2021 521; 2022 271).

 

Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.
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