Droit international 0.7 Travaux publics - Énergie - Transports et communications 0.74 Transports et communications
Internationales Recht 0.7 Öffentliche Werke - Energie - Verkehr 0.74 Verkehr

0.747.305.15 Convention des Nations Unies du 10 décembre 1982 sur le droit de la mer (avec annexes)

0.747.305.15 Seerechtsübereinkommen der Vereinten Nationen vom 10. Dezember 1982 (mit Anlagen)

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annexIII/lvlu1/Art. 6 Approbation des plans de travail

1.  L’Autorité entreprendra l’examen des plans de travail proposés six mois après l’entrée en vigueur de la Convention, puis tous les quatre mois.

2.  Lors de l’examen d’une demande d’approbation d’un plan de travail revêtant la forme d’un contrat, l’Autorité s’assure tout d’abord que:

a)
le demandeur a suivi les procédures de présentation des demandes visées à l’art. 4 de la présente annexe et qu’il a pris envers l’Autorité les engagements et lui a donné les assurances que requiert cet article. Si ces procédures n’ont pas été suivies, ou si l’un quelconque de ces engagements et assurances fait défaut, le demandeur dispose d’un délai de 45 jours pour remédier à ces carences;
b)
le demandeur est qualifié au sens de l’art. 4 de la présente annexe.

3.  Tous les plans de travail proposés sont examinés dans l’ordre de leur réception. Les plans de travail proposés doivent être conformes et sont soumis aux dispositions pertinentes de la Convention ainsi qu’aux règles, règlements et procédures de l’Autorité, y compris les conditions relatives aux opérations, les contributions financières et les engagements en matière de transfert de techniques. Si les plans de travail proposés sont conformes à ces dispositions, l’Autorité les approuve, à condition qu’ils soient également conformes aux conditions uniformes et non discriminatoires énoncées dans les règles, règlements et procédures de l’Autorité, à moins:

a)
qu’une partie ou la totalité de la zone visée par le plan de travail proposé ne soit comprise dans un plan de travail déjà approuvé ou dans un plan de travail précédemment proposé sur lequel l’Autorité n’a pas encore statué définitivement;
b)
que la mise en exploitation d’une partie ou de la totalité de la zone visée par le plan de travail proposé n’ait été exclue par l’Autorité en application de l’art. 162, par. 2, let. x); ou
c)
que le plan de travail proposé ne soit soumis ou patronné par un État Partie qui a déjà fait approuver:
i)
des plans de travail relatifs à l’exploration et à l’exploitation de gisements de nodules polymétalliques dans des secteurs non réservés dont la superficie, ajoutée à celle de l’une ou l’autre partie de la zone visée par le plan de travail proposé, dépasserait 30 % de la superficie d’une zone circulaire de 400 000 km2 déterminés à partir du centre de l’une ou l’autre partie de la zone visée par le plan de travail proposé,
ii)
des plans de travail relatifs à l’exploration et à l’exploitation de gisements de nodules polymétalliques dans des secteurs non réservés représentant ensemble 2 % de la superficie totale de la Zone qui n’a pas été réservée et dont la mise en exploitation n’a pas été exclue en application de l’art. 162, par. 2, let. x).

4.  Aux fins de l’application de la règle énoncée au par. 3, let. c), un plan de travail soumis par une association ou un consortium est imputé sur une base proportionnelle aux États Parties qui patronnent l’association ou le consortium conformément à l’art. 4, par. 3, de la présente annexe. L’Autorité peut approuver des plans de travail régis par le par. 3, let. c), si elle établit que cette approbation ne donne pas à un État Partie ou à des entités ou personnes qu’il patronne la possibilité de monopoliser des activités menées dans la Zone ou d’empêcher d’autres États Parties d’y mener des activités.

5.  Nonobstant le par. 3, let. a), l’Autorité peut, après la fin de la période intérimaire visée à l’art. 151, par. 3, adopter, au moyen de règles, règlements et procédures, d’autres procédures et critères compatibles avec la Convention pour déterminer, en cas de choix entre les demandeurs pour une zone donnée, ceux dont les plans de travail seront approuvés. Ces procédures et critères doivent assurer l’approbation des plans de travail sur une base équitable et non discriminatoire.

annexIII/lvlu1/Art. 6 Bestätigung der Arbeitspläne

1.  Sechs Monate nach Inkrafttreten dieses Übereinkommens und danach alle vier Monate beginnt die Behörde mit der Prüfung der vorgeschlagenen Arbeitspläne.

2.  Bei der Prüfung eines Antrags auf Bestätigung eines Arbeitsplans in Form eines Vertrags stellt die Behörde zunächst fest:

a)
ob der Antragsteller die für die Antragstellung in Übereinstimmung mit Artikel 4 dieser Anlage festgelegten Verfahren eingehalten hat und gegenüber der Behörde die nach jenem Artikel erforderlichen Verpflichtungen eingegangen ist und die entsprechenden Zusicherungen abgegeben hat. Werden diese Verfahren nicht eingehalten oder fehlt eine dieser Verpflichtungen und Zusicherungen, so wird dem Antragsteller eine Frist von 45 Tagen eingeräumt, um dies nachzuholen;
b)
ob der Antragsteller die erforderlichen Voraussetzungen nach Artikel 4 dieser Anlage erfüllt.

3.  Alle vorgeschlagenen Arbeitspläne werden in der Reihenfolge ihres Eingangs geprüft. Die vorgeschlagenen Arbeitspläne müssen den diesbezüglichen Bestimmungen dieses Übereinkommens sowie den Regeln, Vorschriften und Verfahren der Behörde entsprechen, die für sie massgebend sind, darunter denjenigen über die betriebstechnischen Anforderungen, die finanziellen Beiträge und die Verpflichtungen über die Weitergabe von Technologie. Wenn die vorgeschlagenen Arbeitspläne diesen Anforderungen genügen, werden sie von der Behörde bestätigt, sofern sie den in den Regeln, Vorschriften und Verfahren der Behörde enthaltenen einheitlichen und nicht diskriminierenden Anforderungen entsprechen, es sei denn:

a)
das in dem vorgeschlagenen Arbeitsplan genannte Feld gehört zum Teil oder in seiner Gesamtheit zu einem bestätigten Arbeitsplan oder zu einem bereits eingereichten vorgeschlagenen Arbeitsplan, über den die Behörde noch nicht endgültig entschieden hat;
b)
das in dem vorgeschlagenen Arbeitsplan genannte Feld ist von der Behörde zum Teil oder in seiner Gesamtheit nach Artikel 162 Absatz 2 Buchstabe x ausgeschlossen worden; oder
c)
der vorgeschlagene Arbeitsplan ist von einem Vertragsstaat eingereicht oder befürwortet worden, der bereits Folgendes hat bestätigen lassen:
i)
Arbeitspläne für die Erforschung und Ausbeutung polymetallischer Knollen in nicht reservierten Feldern, deren Grösse zusammen mit irgendeinem Teil des in dem Antrag auf einen Arbeitsplan genannten Feldes 30 Prozent eines kreisförmigen Feldes von 400 000 Quadratkilometern um die Mitte eines Teiles des von dem vorgeschlagenen Arbeitsplan erfassten Feldes übersteigen würde,
ii)
Arbeitspläne für die Erforschung und Ausbeutung polymetallischer Knollen in nicht reservierten Feldern, deren Gesamtgrösse 2 Prozent des gesamten Gebiets darstellt, soweit es nicht reserviert oder soweit seine Ausbeutung nach Artikel 162 Absatz 2 Buchstabe x nicht ausgeschlossen worden ist.

4.  Zur Anwendung der Vorschrift des Absatzes 3 Buchstabe c wird ein von einer Partnerschaft oder einem Konsortium eingereichter Arbeitsplan den in Übereinstimmung mit Artikel 4 Absatz 3 dieser Anlage befürwortenden Vertragsstaaten anteilmässig zugerechnet. Die Behörde kann unter Absatz 3 Buchstabe c fallende Arbeitspläne bestätigen, wenn sie feststellt, dass diese Bestätigung nicht dazu führt, dass ein Vertragsstaat oder von ihm befürwortete Rechtsträger die Durchführung der Tätigkeiten im Gebiet monopolisieren oder andere Vertragsstaaten von Tätigkeiten im Gebiet ausschliessen.

5.  Ungeachtet des Absatzes 3 Buchstabe a kann die Behörde nach Ablauf der in Artikel 151 Absatz 3 genannten Übergangszeit durch Regeln, Vorschriften und Verfahren andere mit dem Übereinkommen im Einklang stehende Verfahren und Kriterien für die Entscheidung darüber festsetzen, welchen Antragstellern die Bestätigung der Arbeitspläne in Fällen erteilt werden soll, in denen eine Auswahl zwischen mehreren Antragstellern für ein vorgeschlagenes Feld getroffen werden muss. Diese Verfahren und Kriterien müssen gewährleisten, dass die Arbeitspläne auf gerechter und nicht diskriminierender Grundlage bestätigt werden.

 

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