Droit international 0.7 Travaux publics - Énergie - Transports et communications 0.74 Transports et communications
Internationales Recht 0.7 Öffentliche Werke - Energie - Verkehr 0.74 Verkehr

0.747.305.15 Convention des Nations Unies du 10 décembre 1982 sur le droit de la mer (avec annexes)

0.747.305.15 Seerechtsübereinkommen der Vereinten Nationen vom 10. Dezember 1982 (mit Anlagen)

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Art. 226 Enquêtes dont peuvent faire l’objet les navires étrangers

1.  a)
Les États ne retiennent pas un navire étranger plus longtemps qu’il n’est indispensable aux fins des enquêtes prévues aux art. 216, 218 et 220. L’inspection matérielle d’un navire étranger doit être limitée à l’examen des certificats, registres ou autres documents dont le navire est tenu d’être muni en vertu des règles et normes internationales généralement acceptées, ou de tous documents similaires; il ne peut être entrepris d’inspection matérielle plus poussée du navire qu’à la suite de cet examen et uniquement si:
i)
il y a de sérieuses raisons de penser que l’État du navire ou de son équipement ne correspond pas essentiellement aux mentions portées sur les documents;
ii)
la teneur de ces documents ne suffit pas pour confirmer ou vérifier l’infraction présumée;
iii)
le navire n’est pas muni de certificats et documents valables.
b)
Lorsqu’il ressort de l’enquête qu’il y a eu infraction aux lois et règlements applicables ou aux règles et normes internationales visant à protéger et préserver le milieu marin, il est procédé sans délai à la mainlevée de l’immobilisation du navire, après l’accomplissement de formalités raisonnables, telles que le dépôt d’une caution ou d’une autre garantie financière.
c)
Sans préjudice des règles et normes internationales applicables en matière de navigabilité des navires, si la mainlevée de l’immobilisation d’un navire devait entraîner un risque de dommage inconsidéré pour le milieu marin, le navire en question pourrait ne pas être autorisé à poursuivre sa route ou l’être à la condition de se rendre au chantier approprié de réparation le plus proche. Dans le cas où la mainlevée de l’immobilisation du navire a été refusée ou a été soumise à des conditions, l’État du pavillon doit en être informé sans retard et peut demander cette mainlevée conformément à la partie XV.

2.  Les États coopèrent à l’élaboration de procédures visant à éviter toute inspection matérielle superflue de navires en mer.

Art. 226 Untersuchung fremder Schiffe

1.
a) Die Staaten dürfen ein fremdes Schiff nicht länger aufhalten, als es für die Zwecke der in den Artikeln 216, 218 und 220 vorgesehenen Untersuchungen unerlässlich ist. Jede Überprüfung an Bord eines fremden Schiffes hat sich auf eine Prüfung der Zeugnisse, Aufzeichnungen und sonstigen Dokumente zu beschränken, die das Schiff nach allgemein anerkannten internationalen Regeln und Normen mitführen muss, oder auf die Prüfung ähnlicher mitgeführter Dokumente; eine weitergehende Überprüfung an Bord des Schiffes darf nur nach einer solchen Prüfung und nur dann vorgenommen werden, wenn
i)
eindeutige Gründe für die Annahme bestehen, dass der Zustand des Schiffes oder seiner Ausrüstung in wesentlichen Punkten den Angaben dieser Dokumente nicht entspricht;
ii)
der Inhalt dieser Dokumente nicht ausreicht, um einen mutmasslichen Verstoss zu bestätigen oder nachzuweisen; oder
iii)
das Schiff keine gültigen Zeugnisse und Aufzeichnungen mitführt.
b)
Ergibt die Untersuchung, dass ein Verstoss gegen die anwendbaren Gesetze und sonstigen Vorschriften oder internationale Regeln und Normen zum Schutz und zur Bewahrung der Meeresumwelt vorliegt, so wird das Schiff in Anwendung angemessener Verfahren, wie der Hinterlegung einer Kaution oder der Leistung einer anderen geeigneten finanziellen Sicherheit, sofort freigegeben.
c)
Unbeschadet der anwendbaren internationalen Regeln und Normen über die Seetüchtigkeit von Schiffen kann die Freigabe eines Schiffes, wenn sie eine unverhältnismässig grosse Gefahr einer Schädigung der Meeresumwelt darstellen würde, verweigert oder davon abhängig gemacht werden, dass das Schiff die nächstgelegene geeignete Reparaturwerft anläuft. Wird die Freigabe verweigert oder von Bedingungen abhängig gemacht, so muss der Flaggenstaat des Schiffes sofort benachrichtigt werden; er kann in Übereinstimmung mit Teil XV die Freigabe des Schiffes zu erreichen suchen.

2.  Die Staaten arbeiten bei der Entwicklung von Verfahren zur Vermeidung unnötiger Überprüfungen an Bord von Schiffen auf See zusammen.

 

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