Droit international 0.6 Finances 0.67 Double imposition
Internationales Recht 0.6 Finanzen 0.67 Doppelbesteuerung

0.672.913.61 Convention du 30 novembre 1978 entre la Confédération suisse et la République fédérale d'Allemagne en vue d'éviter les doubles impositions en matière d'impôts sur les successions

0.672.913.61 Abkommen vom 30. November 1978 zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und der Bundesrepublik Deutschland zur Vermeidung der Doppelbesteuerung auf dem Gebiete der Nachlass- und Erbschaftssteuern

Index Inverser les langues Précédent Suivant
Index Inverser les langues

Art. 9

(1)  Les dettes ayant un rapport économique avec un bien déterminé sont déduites de la valeur de ce bien.

(2)  Les autres dettes sont déduites de la valeur des biens qui ne sont imposables que dans l’Etat contractant où le défunt avait son domicile. Lors de l’application des dispositions de l’art. 4, al. 3 et 4, et de l’art. 8, al. 2, ces dettes seront également déduites en République fédérale d’Allemagne lorsque le défunt ou le bénéficiaire étaient «Inländer» au sens de la législation de la République fédérale d’Allemagne en matière d’impôts sur les successions. Lorsque le défunt n’était pas «Inländer» et que la République fédérale d’Allemagne, conformément aux dispositions de l’art. 4, al. 4, impose des biens qui, selon les dispositions de l’art. 8, al. 1, ne sont imposables qu’en Suisse, une part des dettes que la Suisse doit prendre en considération en application des dispositions de ce paragraphe est déduite de la valeur de ces biens; cette part correspond au rapport existant entre ces biens, compte tenu d’une compensation des dettes conformément aux dispositions de l’al. 3, et la fortune brute totale après déduction des dettes visées à l’al. 1.

(3)  Si une dette dépasse la valeur des biens dont elle est déductible dans un Etat contractant conformément aux dispositions des al. 1 et 2, le solde est déduit de la valeur des autres biens imposables dans cet Etat.

(4)  Si les déductions prévues aux paragraphes qui précèdent laissent un solde non couvert, ce solde est déduit de la valeur des biens soumis à l’impôt dans l’autre Etat contractant.

(5)  Les dispositions qui précèdent concernant la déduction des dettes s’appliquent par analogie à la déduction des legs.

Art. 9

(1)  Schulden, die mit einem bestimmten Vermögensgegenstand in wirtschaftlichem Zusammenhang stehen, werden vom Wert dieses Vermögens abgezogen.

(2)  Die anderen Schulden werden vom Wert des Vermögens abgezogen, das nur in dem Vertragsstaat besteuert werden kann, in dem der Erblasser seinen Wohnsitz hatte. Diese Schulden werden bei der Anwendung des Artikels 4 Absätze 3 und 4 und des Artikels 8 Absatz 2 auch in der Bundesrepublik Deutschland abgezogen, wenn der Erblasser bzw. der Erwerber Inländer im Sinne des Erbschaftssteuerrechts der Bundesrepublik Deutschland waren. War der Erblasser nicht Inländer und besteuert die Bundesrepublik Deutschland nach Artikel 4 Absatz 4 Vermögen, das nach Artikel 8 Absatz 1 nur in der Schweiz besteuert werden kann, so wird vom Wert dieses Vermögens der Teil der nach diesem Absatz von der Schweiz zu berücksichtigenden Schulden abgezogen, der dem Verhältnis dieses Vermögens nach Berücksichtigung eines Schuldenausgleichs nach Absatz 3 zum gesamten Rohvermögen nach Abzug der unter Absatz 1 fallenden Schulden entspricht.

(3)  Übersteigt eine Schuld den Wert des Vermögens, von dem sie in einem Vertragsstaat nach den Absätzen 1 und 2 abzuziehen ist, so wird der übersteigende Betrag vom Wert des übrigen Vermögens, das in diesem Staat besteuert werden kann, abgezogen.

(4)  Verbleibt nach den Abzügen, die auf Grund der vorstehenden Absätze vorzunehmen sind, ein Schuldenrest, so wird dieser vom Wert des Vermögens, das im anderen Vertragsstaat besteuert werden kann, abgezogen.

(5)  Die vorstehenden Bestimmungen über den Schuldenabzug gelten sinngemäss auch für den Abzug der Vermächtnisse.

 

Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.
Dies ist keine amtliche Veröffentlichung. Massgebend ist allein die Veröffentlichung durch die Bundeskanzlei.