Internationales Recht 0.7 Öffentliche Werke - Energie - Verkehr 0.74 Verkehr
Droit international 0.7 Travaux publics - Énergie - Transports et communications 0.74 Transports et communications

0.748.127.194.58 Abkommen vom 12. Dezember 2013 zwischen dem Schweizerischen Bundesrat und der Regierung von Jamaika über den Luftlinienverkehr (mit Anhang)

0.748.127.194.58 Accord du 12 décembre 2013 entre le Conseil fédéral suisse et le Gouvernement de la Jamaïque relatif aux services aériens de lignes (avec annexe)

Index Inverser les langues Précédent Suivant
Index Inverser les langues

Art. 6 Bezeichnung und Betriebsbewilligung

1.  Jede Vertragspartei hat das Recht, ein oder mehrere Luftfahrtunternehmen für den Betrieb der vereinbarten Linien zu bezeichnen. Diese Bezeichnung erfolgt schriftlich auf diplomatischem Weg an die andere Vertragspartei.

2.  Bei Erhalt der Notifikation einer solchen Bezeichnung erteilt die andere Vertragspartei unter Vorbehalt der Absätze 3 und 4 dieses Artikels den bezeichneten Luftfahrtunternehmen der anderen Vertragspartei ohne Verzug die notwendige Betriebsbewilligung.

3.  Die Luftfahrtbehörden einer Vertragspartei können von den bezeichneten Luftfahrtunternehmen der anderen Vertragspartei den Nachweis verlangen, dass sie in der Lage sind, den vorgeschriebenen Bedingungen zu entsprechen, die gemäss den Gesetzen und Verordnungen für den Betrieb von internationalen Luftverkehrslinien von diesen Behörden üblicherweise in Übereinstimmung mit den Bestimmungen des Übereinkommens angewandt werden.

4.  Jede Vertragspartei ist berechtigt, die in Absatz 2 dieses Artikels vorgesehene Betriebsbewilligung zu verweigern oder Bedingungen aufzustellen, die ihr für die Ausübung der in Artikel 3 dieses Abkommens festgelegten Rechte als nötig erscheinen, wenn die genannte Vertragspartei nicht den Beweis besitzt, dass:

a.
im Fall eines von Jamaika bezeichneten Luftfahrtunternehmens:
(i)
das Luftfahrtunternehmen seinen Hauptgeschäftssitz im Gebiet von Jamaika hat und es ein gültiges Luftverkehrsbetreiberzeugnis (AOC) hat, welches von Jamaika ausgestellt wurde, oder
(ii)
falls Absatz (a)(i) dieses Absatzes nicht anwendbar ist, das Luftfahrtunternehmen seine Niederlassung im Gebiet von Jamaika hat und es im direkten oder mehrheitlichen Eigentum und unter der tatsächlichen Verfügungsgewalt eines Mitgliedstaates der Karibischen Gemeinschaft gemäss dem revidierten Vertrag von Chaguaramas und/oder in jedem Fall eines Staatsangehörigen dieses Mitgliedstaates steht, und das Luftfahrtunternehmen eine gültige Betriebsbewilligung und sein Luftverkehrsbetreiberzeugnis (AOC) von dem besagten Mitgliedstaat erhalten hat und die tatsächliche behördliche Kontrolle über dieses Luftfahrtunternehmen von dem besagten Mitgliedstaat ausgeübt und aufrechterhalten wird, und die zuständige Luftfahrtbehörde in der Bezeichnung genau festgelegt ist;
b.
im Fall eines von der Schweiz bezeichneten Luftfahrtunternehmens:
das Luftfahrtunternehmen seinen Hauptgeschäftssitz im Gebiet der Schweiz hat und es über eine gültige Betriebsbewilligung und ein gültiges Luftverkehrsbetreiberzeugnis (AOC) verfügt, welches von der Schweiz ausgestellt wurde.

5.  Nach Empfang der in Absatz 2 dieses Artikels vorgesehenen Betriebsbewilligung können die bezeichneten Luftfahrtunternehmen jederzeit die vereinbarten Linien betreiben.

Art. 6 Désignation et autorisation d’exploitation

1.  Chaque Partie contractante a le droit de désigner une ou plusieurs entreprises de transport aérien pour exploiter les services convenus. La désignation sera communiquée par écrit à l’autre Partie contractante par les voies diplomatiques.

2.  Sous réserve des dispositions des par. 3 et 4 du présent article, la Partie contractante qui a reçu la notification de désignation accorde sans délai aux entreprises désignées de l’autre Partie contractante les autorisations d’exploitation nécessaires.

3.  Les autorités aéronautiques d’une Partie contractante peuvent exiger que les entreprises désignées par l’autre Partie contractante prouvent qu’elles sont à même de respecter les conditions prescrites par les lois et la réglementation normalement appliquées à l’exploitation de services aériens internationaux par lesdites autorités conformément aux dispositions de la Convention.

4.  Chaque Partie contractante a le droit de refuser l’autorisation d’exploitation prévue au par. 2 du présent article ou d’imposer telles conditions qui lui semblent nécessaires pour l’exercice des droits spécifiés à l’art. 3 du présent Accord, lorsque ladite Partie contractante n’aura pas la preuve que:

a.
dans le cas de l’entreprise désignée par la Jamaïque:
(i)
l’entreprise a le siège principal de son exploitation sur le territoire de la Jamaïque et détient une licence de transporteur aérien (AOC) valide délivrée par la Jamaïque, ou
(ii)
dans les cas où la let. i) du présent paragraphe ne s’applique pas, l’entreprise de transport aérien est établie dans le territoire de la Jamaïque et est détenue, directement ou par participation majoritaire, et effectivement contrôlée par un État membre et/ou un ressortissant d’un État membre de la Communauté caribéenne, conformément au Traité Révisé de Chaguaramas, et/ou dans tous les cas par un ressortissant d’un tel État membre, et que l’entreprise de transport aérien a reçu une licence d’exploitation valide de même que sa licence de transporteur aérien (AOC) dudit État membre et que ce dernier exerce et maintienne le contrôle réglementaire effectif et que l’autorité aéronautique compétente est clairement identifiée dans la désignation;
b.
dans le cas de l’entreprise désignée par la Suisse:
l’entreprise a le siège principal de son exploitation dans le territoire de la Suisse et détient une licence d’exploitation et licence de transporteur aérien (AOC) valides délivrées par la Suisse.

5.  Dès réception de l’autorisation d’exploitation prévue au par. 2 du présent article, les entreprises désignées peuvent à tout moment exploiter tout service convenu.

 

Dies ist keine amtliche Veröffentlichung. Massgebend ist allein die Veröffentlichung durch die Bundeskanzlei.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.