Diritto internazionale 0.9 Economia - Cooperazione tecnica 0.97 Sviluppo e cooperazione
Droit international 0.9 Économie - Coopération technique 0.97 Développement et coopération

0.975.222.3 Accordo del 12 ottobre 1996 tra la Confederazione Svizzera e il Regno della Cambogia concernente la promozione e la protezione reciproche degli investimenti

0.975.222.3 Accord du 12 octobre 1996 entre la Confédération suisse et le Royaume du Cambodge concernant la promotion et la protection réciproque des investissements

Index Inverser les langues Précédent Suivant
Index Inverser les langues

Art. 8 Controversie tra una Parte contraente e un investitore dell’altra Parte contraente


(1)  Per trovare una soluzione amichevole alle controversie relative agli investimenti tra una Parte contraente e un investitore dell’altra Parte contraente, le parti interessate procedono a consultazioni.

(2)  Se tali consultazioni non giungono ad alcuna soluzione entro sei mesi dalla domanda della loro apertura l’investitore può sottoporre la controversia:

(a)
all’Ufficio internazionale per la composizione delle controversie relative agli investimenti istituito dalla Convenzione per la composizione delle controversie relative agli investimenti fra Stati e cittadini d’altri Stati, aperta alla firma a Washington il 18 marzo 19652, quando il Regno della Cambogia avrà aderito a detta Convenzione; o
(b)
a un tribunale arbitrale ad hoc che, salvo accordo contrario delle parti in causa, è costituito secondo le norme di arbitrato della Commissione delle Nazioni Unite per il Diritto Commerciale Internazionale (UNCITRAL); le parti alla controversia possono anche convenire di sottoporre la controversia a un arbitro unico.

(3)  La Parte contraente che è parte alla controversia non può, in nessun momento della procedura di composizione o dell’esecuzione della sentenza, eccepire il fatto che l’investitore ha ottenuto, in virtù di un contratto di assicurazione, un indennizzo a copertura totale o parziale del danno subìto.

(4)  Nessuna delle Parti contraenti intenta un’azione per via diplomatica per una controversia sottoposta ad arbitrato internazionale, salvo che l’altra Parte contraente rifiuti di conformarsi alla sentenza pronunciata da un tribunale arbitrale.

Art. 8 Différends entre une Partie contractante et un investisseur de l’autre Partie contractante

(1)  Afin de trouver un règlement amiable aux différends entre une Partie contractante et un investisseur de l’autre Partie contractante, des consultations auront lieu entre les parties concernées.

(2)  Si ces consultations n’apportent pas de règlement amiable dans un délai de six mois à compter de la demande de les engager, l’investisseur pourra soumettre le différend soit:

(a)
au Centre International pour le Règlement des Différends Relatifs aux Investissements (CIRDI), institué par la Convention pour le Règlement des Différends Relatifs aux Investissements entre Etats et Ressortissants d’Autres Etats, ouverte à la signature à Washington le 18 mars 19651, cela lorsque le Royaume du Cambodge sera devenu partie à cette Convention; soit
(b)
à un tribunal arbitral ad hoc qui, sauf accord contraire des parties au différend, sera établi selon les Règles d’arbitrage de la Commission des Nations Unies pour le droit commercial international (CNUDCI); les parties au différend pourront aussi convenir de soumettre le différend à un arbitre unique.

(3)  La Partie contractante qui est partie au différend ne peut, à aucun moment de la procédure de règlement ou de l’exécution d’une sentence, exciper du fait que l’investisseur a reçu, en vertu d’un contrat d’assurance, une indemnité couvrant tout ou partie du dommage subi.

(4)  Aucune Partie contractante ne poursuivra par la voie diplomatique un différend soumis à l’arbitrage international, à moins que l’autre Partie contractante ne se conforme pas à la sentence rendue par un tel tribunal arbitral.

 

Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.