Diritto internazionale 0.1 Diritto internazionale pubblico generale 0.14 Cittadinanza. Domicilio e dimora
Droit international 0.1 Droit international public général 0.14 Nationalité. Établissement et séjour

0.142.114.631 Trattato di domicilio e di commercio del 21 giugno 1911 fra la Svizzera e il Giappone (con Protocollo verbale di firma)

0.142.114.631 Traité d'établissement et de commerce du 21 juin 1911 entre la Suisse et le Japon (avec procès-verbal de signature)

Index Inverser les langues Précédent Suivant
Index Inverser les langues

Art. 5

Nel caso in cui un cittadino dell’una delle alte Parti contraenti morisse nei territori dell’altra, senza aver lasciato nel luogo dove è morto nessuna persona autorizzata, secondo le leggi dei suo paese, a prender possesso della successione e ad amministrarla, l’ufficiale consolare competente del paese a cui appartiene il defunto, avrà il diritto, compiute le formalità necessarie, di prendere in custodia la successione o di amministrarla nel modo e dentro i limiti prescritti dalla legge del paese in cui si trova situata la proprietà del defunto.

La disposizione che precede sarà applicabile anche nel caso in cui un cittadino dell’una delle alte Parti contraenti, che possegga dei beni nei territori dell’altra, morisse fuori dei detti territori, senza aver lasciato, nel luogo dove i detti beni sono situati, nessuna persona autorizzata a prender possesso della successione e ad amministrarla.

Resta inteso che in tutto quanto concerne l’amministrazione delle successioni di persone defunte, qualsiasi diritto, privilegio, agevolezza o immunità che l’una delle alte Parti contraenti ha accordato o fosse per accordare in avvenire agli ufficiali consolari di qualsiasi Stato estero, sarà immediatamente e senza condizione esteso agli ufficiali consolari dell’altra Parte contraente.

Art. 5

Dans le cas où un ressortissant de l’une des hautes Parties contractantes viendrait à mourir dans les territoires de l’autre, sans avoir laissé, au lieu du décès, aucune personne ayant qualité, d’après les lois de son pays, pour prendre charge de la succession et l’administrer, l’officier consulaire compétent du pays auquel appartient le défunt, aura le droit, après avoir accompli les formalités nécessaires, de prendre en garde la succession et de l’administrer de la manière et dans les limites prescrites par la loi du pays dans lequel se trouve située la propriété du défunt.

La disposition précédente sera de même applicable au cas où un ressortissant de l’une des hautes Parties contractantes possédant des biens dans les territoires de l’autre, viendrait à mourir en dehors desdits territoires, sans avoir laissé, au lieu où ces biens sont situés, aucune personne ayant qualité pour prendre charge de la succession et l’administrer.

Il est entendu qu’en tout ce qui concerne l’administration des successions de personnes décédées, tout droit, privilège, faveur ou immunité que l’une des hautes Parties contractantes a actuellement accordés ou accorderait à l’avenir aux officiers consulaires de tout autre Etat étranger seront immédiatement et sans condition étendus aux officiers consulaires de l’autre haute Partie contractante.

 

Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.