Droit international 0.9 Économie - Coopération technique 0.97 Développement et coopération
Diritto internazionale 0.9 Economia - Cooperazione tecnica 0.97 Sviluppo e cooperazione

0.975.257.2 Accord du 29 janvier 1997 entre la Confédération suisse et la Mongolie concernant la promotion et la protection réciproque des investissements

0.975.257.2 Accordo del 29 gennaio 1997 tra la Confederazione Svizzera e la Mongolia concernente la promozione e la protezione reciproche degli investimenti

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Art. 8 Différends entre une Partie contractante et un investisseur de l’autre Partie contractante

1.  Afin de trouver une solution amiable aux différends entre une Partie contractante et un investisseur de l’autre Partie contractante et sans préjudice de l’art. 9 du présent Accord, des consultations auront lieu entre les parties concernées.

2.  Si ces consultations n’apportent pas de solution dans un délai de six mois à compter de la demande de les engager, l’investisseur peut soumettre le différend, pour règlement, à son choix:

a.
au Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI), institué par la Convention pour le règlement des différends relatifs aux investissements entre Etats et ressortissants d’autres Etats1, ouverte à la signature à Washington le 18 mars 1965;
b.
à un tribunal arbitral ad hoc qui, sauf accord contraire des parties au différend, sera établi conformément aux Règles d’arbitrage de la Commission des Nations Unies pour le droit commercial international (CNUDCI).

3.  Chaque Partie contractante consent à soumettre à l’arbitrage international un différend relatif à un investissement.

4.  La Partie contractante qui est partie au différend n’excipera, à aucun moment de la procédure de règlement ou de l’exécution d’une sentence, du fait que l’investisseur a reçu, en vertu d’un contrat d’assurance, une indemnité couvrant tout ou partie du dommage subi.

5.  Une société qui a été incorporée ou constituée conformément aux lois en vigueur sur le territoire d’une Partie contractante, et qui, avant la naissance du différend, était contrôlée par des ressortissants ou des sociétés de l’autre Partie contractante, est considérée, au sens de la Convention de Washington et conformément à son art. 25, al. 2, let. b, comme une société de l’autre Partie contractante.

6.  Aucune Partie contractante ne poursuivra par la voie diplomatique un différend soumis à l’arbitrage international, à moins que l’autre Partie contractante ne se conforme pas à la sentence rendue par un tribunal arbitral.

Art. 8 Controversie tra una Parte contraente e un investitore dell’altra Parte contraente

(1)  Per trovare una soluzione amichevole alle controversie tra una Parte contraente e un investitore dell’altra Parte contraente e senza pregiudicare il contenuto dell’articolo 9 del presente Accordo, le parti interessate procedono a consultazioni.

(2)  Se tali consultazioni non giungono ad alcuna soluzione entro sei mesi dalla domanda della loro apertura, l’investitore può sottoporre, per composizione, a sua scelta la controversia:

(a)
al Centro internazionale per la composizione delle controversie relative agli investimenti (ICSID), istituito dalla Convenzione per la composizione delle controversie relative agli investimenti fra Stati e cittadini di altri Stati aperta alla firma a Washington il 18 marzo 19652;
(b)
a un tribunale arbitrale ad hoc costituito, salvo accordo contrario delle parti alla controversia, conformemente alle Regole d’arbitrato della Commissione delle Nazioni Unite per il diritto commerciale internazionale (UNCITRAL).

(3)  Ciascuna Parte contraente acconsente a sottoporre all’arbitrato internazionale una controversia relativa a un investimento.

(4)  La Parte contraente che è parte alla controversia non può, in nessun momento della procedura di composizione o dell’esecuzione della sentenza, eccepire il fatto che l’investitore ha ottenuto, in virtù di un contratto di assicurazione, un indennizzo a copertura totale o parziale del danno subìto.

(5)  Una società che è stata incorporata o costituita conformemente alle leggi in vigore sul territorio della Parte contraente e che, prima dell’insorgere della controversia, era controllata da cittadini o da società dell’altra Parte contraente, è considerata, ai sensi della Convenzione di Washington e conformemente al suo articolo 25 paragrafo 2 lettera b, come una società dell’altra Parte contraente.

(6)  Nessuna delle Parti contraenti intenta un’azione per via diplomatica per una controversia sottoposta all’arbitrato internazionale, salvo che l’altra Parte contraente rifiuti di conformarsi alla sentenza emessa da un tribunale arbitrale.

 

Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.
Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.