Droit international 0.9 Économie - Coopération technique 0.97 Développement et coopération
Diritto internazionale 0.9 Economia - Cooperazione tecnica 0.97 Sviluppo e cooperazione

0.975.216.7 Accord du 14 octobre 2000 entre la Confédération suisse et la République populaire du Bangladesh concernant la promotion et la protection réciproque des investissements

0.975.216.7 Accordo del 14 ottobre 2000 tra la Confederazione Svizzera e la Repubblica popolare del Bangladesh concernente la promozione e la protezione reciproche degli investimenti

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Art. 8 Différends entre une Partie contractante et un investisseur de l’autre Partie contractante

(1) Afin de trouver une solution aux différends relatifs à des investissements entre une Partie contractante et un investisseur de l’autre Partie contractante et sans préjudice de l’art. 9 du présent Accord (Différends entre les Parties contractantes), des consultations auront lieu entre les parties concernées.

(2) Si ces consultations n’apportent pas de solution dans un délai de six mois à compter de la demande de les engager, et si l’investisseur en cause y consent par écrit, le différend sera soumis au Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements, institué par la Convention de Washington du 18 mars 1965 pour le règlement des différends relatifs aux investissements entre Etats et ressortissants d’autres Etats1. Chaque partie pourra entamer la procédure en adressant une requête à cet effet au Secrétaire général du Centre, comme le prévoient les art. 28 et 36 de la Convention. Au cas où les parties seraient en désaccord sur le point de savoir si la conciliation ou l’arbitrage est la procédure la plus appropriée, le choix reviendra à l’investisseur en cause. La Partie contractante qui est partie au différend ne pourra, à aucun moment de la procédure de règlement ou de l’exécution d’une sentence, exciper du fait que l’investisseur a reçu, en vertu d’un contrat d’assurance, une indemnité couvrant tout ou partie du dommage subi.

(3) Une société qui a été incorporée ou constituée conformément aux lois en vigueur sur le territoire d’une Partie contractante, et qui, avant la naissance du différend, était contrôlée par des investisseurs de l’autre Partie contractante, sera considérée, au sens de la Convention de Washington et conformément à son art. 25 (2) (b), comme une société de l’autre Partie contractante.

(4) Aucune Partie contractante ne poursuivra par la voie diplomatique un différend soumis au Centre, à moins que

(a)
le Secrétaire général du Centre ou une commission de conciliation ou un tribunal arbitral ne décide que le différend ne relève pas de la compétence du Centre, ou que
(b)
l’autre Partie contractante ne se conforme pas à la sentence arbitrale.

Art. 8 Controversie tra una Parte contraente e un investitore dell’altra Parte contraente

(1) Per trovare una soluzione alle controversie tra una Parte contraente e un investitore dell’altra Parte contraente in merito agli investimenti e impregiudicato l’articolo 9 del presente Accordo (Controversie tra Parti contraenti), le parti interessate procedono a consultazioni.

(2) Se tali consultazioni non giungono ad alcuna soluzione entro sei mesi dalla domanda della loro apertura e se l’investitore interessato vi acconsente per iscritto, la controversia è sottoposta all’Ufficio internazionale per la composizione delle controversie relative agli investimenti, istituito dalla Convenzione di Washington del 18 marzo 19652 per la composizione delle controversie relative agli investimenti fra Stati e cittadini d’altri Stati. Ogni Parte può avviare la procedura indirizzando una richiesta a tal fine al Segretario generale dell’Ufficio come lo prevedono gli articoli 28 e 36 della Convenzione. Nel caso in cui le parti non concordassero sulla procedura più appropriata, conciliazione o arbitrato, la scelta spetta all’investitore interessato. La Parte contraente che è parte in causa non può, in nessun momento della procedura di composizione della controversia o dell’esecuzione della sentenza, eccepire il fatto che l’investitore ha ottenuto, in virtù di un contratto di assicurazione, un indennizzo a copertura totale o parziale del danno subìto.

(3) Una società che è stata incorporata o costituita conformemente alle leggi in vigore sul territorio di una Parte contraente e che, prima dell’insorgere della controversia, era controllata da investitori dell’altra Parte, è considerata, ai sensi della Convenzione di Washington e conformemente al suo articolo 25 paragrafo (2) lettera (b), una società dell’altra Parte contraente.

(4) Nessuna delle Parti contraenti proporrà un’azione per via diplomatica per una controversia sottoposta all’Ufficio, salvo che:

(a)
il Segretario generale dell’Ufficio, o una commissione di conciliazione, o un tribunale arbitrale decida che la controversia non è di competenza del l’Ufficio, oppure che
(b)
l’altra Parte contraente non si conformi alla sentenza arbitrale.
 

Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.
Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.