Droit international 0.9 Économie - Coopération technique 0.94 Commerce
Diritto internazionale 0.9 Economia - Cooperazione tecnica 0.94 Commercio

0.946.291.721 Traité de commerce du 26 août 1929 entre la Suisse et l'Union économique belgo-luxembourgeoise (avec protocole de signature)

0.946.291.721 Trattato di commercio del 26 agosto 1929 tra la Svizzera e l'Unione economica belgo-lussemburghese (con Proc. verb. di firma)

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Art. 7

Pour l’importation des marchandises, la présentation de certificats d’origine ne sera généralement pas exigée. Si, toutefois, l’une des hautes parties contractantes frappe les marchandises d’un Etat tiers de droits plus élevés que ceux qui sont applicables aux marchandises de l’autre partie, ou si elle soumet les marchandises d’un pays tiers à des prohibitions ou restrictions d’importation auxquelles ne sont pas assujetties les marchandises de l’autre partie, elle peut, au cas où les circonstances l’exigeraient, faire dépendre de la présentation de certificats d’origine l’application des droits les plus réduits aux marchandises de l’autre partie ou leur admission à l’entrée.

Les certificats d’origine seront délivrés ou visés soit par les autorités douanières, soit par tout autre organisme ou personne habilitée à cette fin. Le visa consulaire ne sera pas exigé pour les certificats d’origine délivrés ou visés par les autorités douanières.6

Dans tous les cas où l’une des hautes parties contractantes signalera à l’autre que des doutes se sont élevés sur l’exactitude d’un certificat d’origine ou que des pratiques frauduleuses se sont produites dans la délivrance ou l’emploi d’un certificat, la partie à laquelle la plainte aura été adressée provoquera immédiatement une enquête sur les faits incriminés, en communiquera les résultats à la partie plaignante et, le cas échéant, prendra toutes mesures en son pouvoir pour prévenir la continuation de ces pratiques indues ou frauduleuses.

6 Voir toutefois le Prot. de signature ci-après.

Art. 7

Per l’importazione delle merci, non si esigerà, in generale, la presentazione di certificati d’origine. So, tuttavia, l’una delle alte Parti contraenti colpisce le merci di un terzo Stato con dazi più elevati di quelli applicabili alle merci dell’altra Parte, o se essa assoggetta le merci d’un terzo paese a divieti o a restrizioni d’importazione a cui non soggiacciono le merci dell’altra Parte, essa può, esigendolo le circostanze, subordinare alla presentazione di certificati d’origine l’applicazione dei dazi più ridotti alle merci dell’altra Parte o la loro ammissione all’entrata.

I certificati d’origine saranno rilasciati o vistati sia dalle autorità doganali, sia da qualsiasi altro organismo o persona abilitato a ciò. Il visto consolare non sarà richiesto per i certificati d’origine rilasciati o vistati dalle autorità doganali.7

In tutti i casi in cui l’una delle alte Parti contraenti segnalerà all’altra che sono sorti dei dubbi circa l’esattezza d’un certificato d’origine o che vi sono state delle pratiche frodolente nel rilascio o nell’uso di un certificato, la Parte a cui sarà stata indirizzata la lagnanza ordinerà immediatamente un’inchiesta speciale sui fatti incriminati, ne parteciperà i risultati alla Parte che si lagna e, se è il caso, prenderà tutti i provvedimenti che potrà per prevenire la continuazione di queste pratiche illecite o frodolente.

7 Vedi però il Processo verbale di firma pubblicato qui di seguito.

 

Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.
Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.