Droit international 0.6 Finances 0.67 Double imposition
Diritto internazionale 0.6 Finanze 0.67 Doppia imposizione

0.672.965.41 Convention du 26 septembre 1974 entre la Suisse et le Portugal en vue d'éviter les doubles impositions en matière d'impôts sur le revenu et sur la fortune (avec prot. add.)

0.672.965.41 Convenzione del 26 settembre 1974 tra la Confederazione Svizzera e il Portogallo intesa ad evitare la doppia imposizione nel campo delle imposte sul reddito e sulla sostanza (con Protocollo add.)

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Art. 12 Redevances

1.  Les redevances provenant d’un Etat contractant et attribuées ou payées à un résident de l’autre Etat contractant sont imposables dans cet autre Etat.

2.  Toutefois ces redevances peuvent être imposées dans l’Etat contractant d’où elles proviennent et selon la législation de cet Etat, mais l’impôt ainsi établi ne peut excéder 5 % du montant brut des redevances. Les autorités compétentes des Etats contractants règlent d’un commun accord les modalités d’application de cette limitation.

3.11  Le terme «redevances» employé dans le présent article désigne les rémunérations de toute nature payées pour l’usage ou la concession de l’usage d’un droit d’auteur sur une œuvre littéraire, artistique ou scientifique, y compris les films cinématographiques ainsi que les films et enregistrements pour émissions de radio ou télévision, d’un brevet, d’une marque de fabrique ou de commerce, d’un dessin ou d’un modèle, d’un plan, d’une formule ou d’un procédé secrets et pour des informations ayant trait à une expérience acquise dans le domaine industriel, commercial ou scientifique.

4.12  Les dispositions des par. 1, 2 et 7 ne s’appliquent pas lorsque le bénéficiaire effectif des redevances, résident d’un Etat contractant, exerce dans l’autre Etat contractant d’où proviennent les redevances, soit une activité industrielle ou commerciale par l’intermédiaire d’un établissement stable qui y est situé, soit une profession indépendante au moyen d’une base fixe qui y est située, et que le droit ou le bien générateur des redevances s’y rattache effectivement. Dans ce cas, les dispositions de l’art. 7 ou de l’art. 14, suivant les cas, sont applicables.

5.  Les redevances sont considérées comme provenant d’un Etat contractant lorsque le débiteur est cet Etat lui‑même, une subdivision subdivision politique ou administrative13, une collectivité locale ou un résident de cet Etat. Toutefois, lorsque le débiteur des redevances, qu’il soit ou non résident d’un Etat contractant, a dans un Etat contractant un établissement stable auquel se rattache la prestation pour laquelle ces redevances sont versées et qui supporte la charge de ces redevances, lesdites redevances sont réputées provenir de l’Etat contractant où l’établissement stable est situé.

6.  Si, par suite de relations spéciales existant entre le débiteur et le créancier ou que l’un et l’autre entretiennent avec de tierces personnes, le montant des redevances attribuées ou payées, compte tenu de la prestation pour laquelle elles sont versées, excède celui dont seraient convenus le débiteur et le créancier en l’absence de pareilles relations, les dispositions du présent article ne s’appliquent qu’à ce dernier montant. En ce cas, la partie excédentaire des attributions ou paiements reste imposable conformément à la législation de chaque Etat contractant et compte tenu des autres dispositions de la présente Convention.

7.14 Nonobstant les par. 1 et 2, les redevances provenant d’un Etat contractant et payées entre des sociétés associées ne sont pas imposées dans l’Etat de la source lorsque ces sociétés sont liées par une participation directe d’au moins 25 pour cent pendant au moins deux ans ou sont toutes deux détenues par une société tierce qui détient directement une participation d’au moins 25 pour cent dans le capital de la première société et dans le capital de la seconde société pendant au moins deux ans, et qu’une société a sa résidence fiscale dans un Etat contractant et que l’autre société a sa résidence fiscale dans l’autre Etat contractant et qu’aux termes d’une convention en vue d’éviter les doubles impositions conclue avec un Etat tiers, aucune de ces sociétés est un résident de cet Etat tiers et que toutes les sociétés sont assujetties à l’impôt sur les sociétés sans bénéficier d’une exonération, en particulier sur des paiements de redevances, et que chacune revêt la forme d’une société de capitaux.

11 Nouvelle teneur selon l’art. VIII par. 1 Prot. du 25 juin 2012, approuvé par l’Ass. féd. le 21 juin 2013, en vigueur depuis le 21 oct. 2013 (RO 2013 3573 3571; FF 2012 8467).

12 Nouvelle teneur selon l’art. VIII par. 1 du Prot. du 25 juin 2012, approuvé par l’Ass. féd. le 21 juin 2013, en vigueur depuis le 21 oct. 2013 (RO 2013 3573 3571; FF 2012 8467).

13 Nouvelle expression selon l’art. VIII par. 2 du Prot. du 25 juin 2012, approuvé par l’Ass. féd. le 21 juin 2013, en vigueur depuis le 21 oct. 2013 (RO 2013 3573 3571; FF 2012 8467).

14 Introduit par l’art. VIII par. 3 du Prot. du 25 juin 2012, approuvé par l’Ass. féd. le 21 juin 2013, en vigueur depuis le 21 oct. 2013 (RO 2013 3573 3571; FF 2012 8467).

Art. 12 Diritti di licenza

1.  I diritti di licenza provenienti da uno Stato contraente e pagati a un residente dell’altro Stato contraente sono imponibili in detto altro Stato.

2.  Tuttavia, tali diritti possono essere imposti nello Stato contraente da dove provengono, in conformità della legislazione di questo Stato, ma l’aliquota d’imposta così applicata non può eccedere il 5 per cento dell’ammontare lordo dei diritti di licenza. Le autorità competenti degli Stati contraenti disciplinano di comune intesa le modalità d’applicazione di tale limitazione.

3.12  Ai fini del presente articolo l’espressione «diritti di licenza» designa i compensi di qualsiasi natura corrisposti per l’uso o la concessione in uso di un diritto d’autore su opere letterarie, artistiche o scientifiche, comprese le pellicole cinematografiche, le pellicole e le registrazioni per trasmissioni radiofoniche o televisive, di brevetti, marchi di fabbrica o di commercio, disegni o modelli, progetti, formule o procedimenti segreti e per informazioni concernenti esperienze di carattere industriale, commerciale o scientifico.

4.13  Le disposizioni dei paragrafi 1, 2 e 7 non si applicano quando il beneficiario dei diritti di licenza, residente di uno Stato contraente, eserciti nell’altro Stato contraente dal quale provengono i diritti di licenza, sia un’attività industriale o commerciale per mezzo di una stabile organizzazione ivi situata, sia una libera professione mediante una base fissa ivi situata, e il diritto o il bene generatore dei diritti di licenza si ricolleghi effettivamente a detta stabile organizzazione o base fissa. In tale ipotesi trovano applicazione, a seconda dei casi, le disposizioni dell’articolo 7 o dell’articolo 14.

5.  I diritti di licenza si considerano provenire da uno Stato contraente quando il debitore è questo Stato stesso, una sua suddivisione politica o amministrativa14, un suo ente locale o un residente di detto Stato. Tuttavia, quando il debitore dei diritti di licenza, sia esso residente o no di uno Stato contraente, ha in uno Stato contraente una stabile organizzazione alla quale è effettivamente connessa la prestazione generatrice dei diritti di licenza, e tali diritti sono a carico della stabile organizzazione, i diritti di licenza si considerano provenire dallo Stato contraente dove è situata la stabile organizzazione.

6.  Qualora, in conseguenza di particolari relazioni esistenti tra debitore e creditore o tra ciascuno di essi e terze persone, l’ammontare dei diritti di licenza pagati, tenuto conto della prestazione per la quale sono versati, ecceda l’ammontare che sarebbe stato convenuto tra debitore e creditore in assenza dì dette relazioni, le disposizioni del presente articolo si applicano soltanto a quest’ultimo ammontare. In tal caso, la parte eccedente dei pagamenti resta imponibile in conformità della legislazione di ciascuno Stato contraente, tenuto conto delle altre disposizioni della presente convenzione.

7.15  Nonostante i paragrafi 1 e 2, i diritti di licenza provenienti da uno Stato contraente e pagati tra imprese associate non sono assoggettati all’imposta nello Stato della fonte, se queste imprese sono legate da una partecipazione diretta di almeno il 25 per cento per almeno due anni oppure sono entrambe detenute da un’impresa terza che detiene direttamente una partecipazione di almeno il 25 per cento nel capitale della prima e della seconda impresa durante almeno due anni, e una delle due imprese ha la residenza fiscale in uno Stato contraente e l’altra impresa ha la residenza fiscale nell’altro Stato contraente e nessuna delle due imprese è residente di uno Stato terzo ai sensi di una convenzione di doppia imposizione conclusa con detto Stato terzo ed entrambe le imprese sono assoggettate all’imposta sulle società senza beneficiare di un’esenzione, in particolare per quanto riguarda i pagamenti dei diritti di licenza, e hanno la forma giuridica di una società di capitali.

12 Nuovo testo giusta l’art. VIII cpv. 1 del Prot. del 25 giu. 2012, approvato dall’AF il 21 giu. 2013 ed in vigore dal 21 ott. 2013 (RU 2013 3573 3571; FF 2012 8061).

13 Nuovo testo giusta l’art. VIII cpv. 1 del Prot. del 25 giu. 2012, approvato dall’AF il 21 giu. 2013 ed in vigore dal 21 ott. 2013 (RU 2013 3573 3571; FF 2012 8061).

14 Nuova espr. giusta l’art. VIII cpv. 2 del Prot. del 25 giu. 2012, approvato dall’AF il 21 giu. 2013 ed in vigore dal 21 ott. 2013 (RU 2013 3573 3571; FF 2012 8061).

15 Introdotto dall’art. VIII cpv. 3 del Prot. del 25 giu. 2012, approvato dall’AF il 21 giu. 2013 ed in vigore dal 21 ott. 2013 (RU 2013 3573 3571; FF 2012 8061).

 

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