Droit international 0.7 Travaux publics - Énergie - Transports et communications 0.74 Transports et communications
Internationales Recht 0.7 Öffentliche Werke - Energie - Verkehr 0.74 Verkehr

0.748.127.194.63 Accord du 24 mai 1956 relatif aux services aériens entre la Suisse et le Japon

0.748.127.194.63 Abkommen vom 24. Mai 1956 über Luftverkehrslinien zwischen der Schweiz und Japan

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Art. 13

1. En cas de différend relatif à l’interprétation ou à l’application du présent accord, les Parties contractantes s’efforceront, en premier lieu, de le régler par voie de négociations directes.

2. Si les Parties contractantes ne parviennent pas à un règlement par voie de négociations, le différend pourra, à la demande de l’une ou de l’autre Partie, être soumis pour décision à un tribunal de trois arbitres, un arbitre étant désigné par chaque Partie contractante et le troisième étant désigné par les deux premiers arbitres ainsi choisis, à condition que ce troisième arbitre n’ait pas la nationalité de l’une ou de l’autre des Parties contractantes. Chacune des Parties contractantes désignera un arbitre dans un délai de soixante jours à compter de la date de réception d’une note diplomatique adressée par la Partie contractante qui demande l’arbitrage. Le troisième arbitre devra être désigné dans un nouveau délai de soixante jours. Si l’une ou l’autre des Parties contractantes n’a pas désigné son propre arbitre dans un délai de soixante jours ou si le troisième arbitre n’a pas été désigné dans le délai indiqué, l’une ou l’autre des Parties contractantes pourra saisir le Président du Conseil de l’Organisation de l’aviation civile internationale créée par la convention, qui désignera un ou des arbitres.

3. Les Parties contractantes s’engagent à se conformer à toute décision prise en application des dispositions du paragraphe 2 du présent article.

Art. 13

1. Bei Meinungsverschiedenheiten über die Auslegung oder Anwendung dieses Abkommens bemühen sich die Vertragsstaaten zunächst um eine Erledigung auf dem Wege direkter Verhandlungen.

2. Wenn die Vertragsstaaten auf dem Verhandlungswege nicht zu einem Ergebnis gelangen, kann auf Begehren des einen oder des andern Vertragsstaates die Meinungsverschiedenheit zur Schlichtung einem dreiköpfigen Schiedsgericht unterbreitet werden, wobei ein Schiedsrichter von jedem Vertragsstaat und der dritte durch die beiden so gewählten Schiedsrichter bezeichnet wird, dies unter der Voraussetzung, dass dieser dritte Schiedsrichter nicht die Staatsangehörigkeit des einen oder des andern Vertragsstaates besitzt. Jeder der Vertragsstaaten bezeichnet innert einer Frist von sechzig Tagen einen Schiedsrichter, gerechnet vom Zeitpunkt des Empfangs einer diplomatischen Note, welche vom Vertragsstaat, der die schiedsgerichtliche Schlichtung verlangt, dem andern Vertragsstaat zu übergeben ist. Der dritte Schiedsrichter muss innert einer neuen Frist von sechzig Tagen bezeichnet werden. Wenn der eine oder der andere Vertragsstaat seinen eigenen Schiedsrichter innert einer Frist von sechzig Tagen nicht bezeichnet hat oder wenn der dritte Schiedsrichter innert der angegebenen Frist nicht bezeichnet worden ist, dann kann der eine oder der andere der Vertragsstaaten sich an den Präsidenten des Rates der durch das Abkommen von Chicago geschaffenen Internationalen Zivilluftfahrtorganisation wenden, der einen oder alle Schiedsrichter bezeichnet.

3. Die Vertragsstaaten verpflichten sich, sich jedem in Anwendung der Bestimmungen des Absatzes 2 dieses Artikels ergangenen Entscheid zu unterziehen.

 

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