Droit international 0.7 Travaux publics - Énergie - Transports et communications 0.74 Transports et communications
Internationales Recht 0.7 Öffentliche Werke - Energie - Verkehr 0.74 Verkehr

0.748.127.191.49 Accord du 4 juillet 2009 entre le Conseil fédéral suisse et le Royaume d'Arabie Saoudite relatif aux services aériens réguliers (avec annexe)

0.748.127.191.49 Abkommen vom 4. Juli 2009 zwischen dem Schweizerischen Bundesrat und dem Königreich Saudi-Arabien über den Luftlinienverkehr (mit Anhang)

Index Inverser les langues Précédent Suivant
Index Inverser les langues

Art. 22 Règlement des différends

1.  Si un différend survient entre les Parties contractantes au sujet de l’interprétation ou de l’application du présent Accord et de ses annexes, les autorités aéronautiques des deux Parties contractantes s’efforceront en premier lieu de le régler par voie de négociation.

2.  Si les Parties contractantes ne parviennent pas à un règlement par négociation, elles peuvent convenir de soumettre le différend pour avis consultatif à une personne ou à un organisme.

3.  Si les Parties contractantes ne parviennent pas à trouver un accord conformément aux par. 1 et 2 ci-dessus, l’une ou l’autre des Parties contractantes peut, en conformité avec ses lois et règlements pertinents, porter le différend devant un tribunal arbitral composé de trois arbitres, à savoir de deux arbitres nommés par les Parties contractantes et d’un tiers arbitre. Si le différend est porté devant un tribunal arbitral, chacune des Parties contractantes désigne son arbitre dans un délai de soixante (60) jours à compter de la date de réception d’un avis selon lequel le différend est porté devant un tribunal arbitral, et le tiers arbitre sera désigné par les deux arbitres ainsi désignés dans un délai de soixante (60) jours à compter de la date à laquelle le deuxième arbitre aura été désigné. Si l’une ou l’autre des Parties contractantes ne désigne pas son arbitre dans le délai spécifié, ou que les arbitres désignés ne parviennent pas à se mettre d’accord sur le choix d’un tiers arbitre dans le délai prévu, chacune des Parties contractantes peut demander au président du Conseil de l’Organisation internationale de l’aviation civile de désigner l’arbitre manquant ou le cas échéant le tiers arbitre. Le tiers arbitre doit toutefois être un ressortissant d’un Etat disposant de relations diplomatiques avec les deux Parties contractantes au moment de la désignation.

4.  En cas de nomination du tiers arbitre par le président du Conseil de l’Organisation internationale de l’aviation civile, si le président du Conseil de l’Organisation internationale de l’aviation civile est empêché d’exercer ladite fonction ou s’il est un ressortissant de l’une ou de l’autre des Parties contractantes, la désignation est effectuée par le vice-président et si ce dernier est également empêché d’exercer ladite fonction ou s’il est un ressortissant de l’une ou de l’autre des Parties contractantes, la désignation est effectuée par le doyen du Conseil qui n’est pas un ressortissant de l’une ou de l’autre des Parties contractantes.

5.  Sous réserve d’autres dispositions dont les Parties contractantes sont convenues, le tribunal arbitral détermine sa propre procédure et son siège.

6.  Les décisions du tribunal arbitral sont contraignantes pour les deux Parties contractantes.

7.  Les frais du tribunal, y compris les honoraires et les dépenses des arbitres, sont répartis à parts égales entre les Parties contractantes. Y sont incluses toutes les dépenses occasionnées par le Conseil en relation avec la procédure de désignation du tiers arbitre et/ou de l’arbitre manquant décrite au par. 3 du présent article.

Art. 22 Beilegung von Meinungsverschiedenheiten

1.  Wenn zwischen den Vertragsparteien Meinungsverschiedenheiten über die Auslegung oder die Anwendung dieses Abkommens und seiner Anhänge entstehen, bemühen sich die Vertragsparteien an erster Stelle, diese durch Verhandlungen zu bereinigen.

2.  Gelingt es den Vertragsparteien nicht, eine Einigung durch Verhandlungen zu erzielen, können sie vereinbaren, die Meinungsverschiedenheit einer Person oder Organisation zur beratenden Stellungnahme weiterzuleiten.

3.  Wenn die Vertragsparteien keine Einigung gemäss den vorstehenden Absätzen 1 und 2 erreichen, kann jede Vertragspartei, in Übereinstimmung mit seinen entsprechenden Gesetzen und Verordnungen, die Meinungsverschiedenheit einem Schiedsgericht aus drei Schiedsrichtern weiterleiten, wovon zwei von den Vertragsparteien ernannt werden und einer ein unparteiischer Dritter ist. Wenn die Meinungsverschiedenheit einem Schiedsgericht weitergeleitet wird, bezeichnet jede Vertragspartei innerhalb einer Frist von sechzig (60) Tagen vom Datum des Erhalts der Mitteilung, wonach die Meinungsverschiedenheit einem Schiedsgericht unterbreitet wird, einen Schiedsrichter, und der unparteiische Dritte wird innerhalb von weiteren sechzig (60) Tagen seit der letzterfolgten Ernennung von den zwei so benannten Schiedsrichter ernannt. Wenn eine der Vertragsparteien es versäumt, ihren Schiedsrichter innerhalb der festgelegten Frist zu bezeichnen oder wenn die ernannten Schiedsrichter es versäumen, sich innerhalb der erwähnten Frist auf den unparteiischen Dritten zu einigen, kann der Präsident des Rates der Internationalen Zivilluftfahrt-Organisation von jeder Vertragspartei ersucht werden, den Schiedsrichter der säumigen Partei oder den unparteiischen Dritten zu ernennen, wie immer der Fall es erfordert. Der unparteiische Dritte muss jedoch Angehöriger eines Staates sein, mit dem beide Vertragsparteien zum Zeitpunkt der Ernennung diplomatische Beziehungen unterhalten.

4.  Wenn der unparteiische Dritte vom Präsidenten der Internationalen Zivilluftfahrt-Organisation ernannt wird, der Präsidenten der Internationalen Zivilluftfahrt-Organisation jedoch an der Ausübung der besagten Aufgabe verhindert ist, oder wenn er ein Staatsangehöriger einer der Vertragsparteien ist, so wird die Ernennung vom Vize-Präsidenten vorgenommen und falls der Vize-Präsident ebenfalls verhindert ist, die besagte Aufgabe auszuführen, oder wenn er ein Staatsangehöriger einer der Vertragsparteien ist, so wird die Ernennung vom amtsältesten Ratsmitglied, welches nicht Staatsangehöriger einer der Vertragsparteien ist, vorgenommen.

5.  Unter Vorbehalt anderweitiger Bestimmungen, die zwischen den Vertragsparteien vereinbart worden sind, bestimmt das Schiedsgericht sein Verfahren und den Ort des Schiedsgerichtes.

6.  Die Entscheide des Schiedsgerichts sind für die Vertragsparteien bindend.

7.  Die Kosten des Schiedsgerichts, einschliesslich der Gebühren und Kosten der Schiedsrichter, werden zu gleichen Teilen von den Vertragsparteien getragen. Alle Aufwendungen, die beim Rat in Verbindung mit der Ernennung des unparteiischen Dritten und/oder des Schiedsrichters der säumigen Partei, wie in Absatz 3 dieses Artikels erwähnt, angefallen sind, werden als Teil der Kosten des Schiedsgerichts betrachtet.

 

Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.
Dies ist keine amtliche Veröffentlichung. Massgebend ist allein die Veröffentlichung durch die Bundeskanzlei.