Droit international 0.1 Droit international public général 0.14 Nationalité. Établissement et séjour
Internationales Recht 0.1 Internationales Recht im Allgemeinen 0.14 Staatsangehörigkeit. Niederlassung und Aufenthalt

0.142.116.919 Accord du 27 juillet 2004 entre le Conseil fédéral suisse et le gouvernement de la République de Slovénie relatif à la réadmission de personnes en situation irrégulière (avec prot.)

0.142.116.919 Abkommen vom 27. Juli 2004 zwischen dem Schweizerischen Bundesrat und der Regierung der Republik Slowenien über die Rückübernahme von Personen mit unbefugtem Aufenthalt (mit Prot.)

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Art. 12

En cas de refus ou d’impossibilité d’embarquement de la personne à l’occasion d’un transit, la Partie contractante requérante peut:

a)
soit reprendre en charge celle-ci immédiatement ou, si elle n’est pas escortée, dans un délai maximum de vingt-quatre heures à compter de son arrivée à l’aéroport;
b)
soit demander à la Partie contractante requise de procéder à un nouvel embarquement et, dans l’attente, d’assurer la garde de cette personne dans le processus de transit. La durée de la garde ne peut excéder le temps strictement nécessaire à son départ et, en tout état de cause, vingt-quatre heures à compter de l’arrivée de l’étranger à l’aéroport. Si la Partie contractante requise n’accepte pas cette demande, la Partie contractante requérante est tenue de reprendre sans délai l’étranger dont elle avait sollicité le transit ou, en cas de force majeure, dans un nouveau délai de vingt-quatre heures. Le refus d’embarquement dans l’Etat de transit entraîne, dans l’Etat de la Partie contractante requérante, les mêmes suites juridiques que celles prévues par la législation de cet Etat lorsque ce refus a lieu sur son propre territoire.

Art. 12

Wenn bei einer Durchbeförderung das Anbordgehen der betreffenden Person verweigert wird oder nicht möglich ist, muss die ersuchende Vertragspartei entweder

a)
diese Person unverzüglich oder innerhalb von höchstens 24 Stunden ab der Ankunft am Flughafen wieder zurücknehmen, sofern sie nicht begleitet ist, oder
b)
bei der ersuchten Vertragspartei beantragen, ein erneutes Anbordgehen der betreffenden Person einzuleiten und in der Zwischenzeit die Überwachung dieser Person sicherzustellen. Die Dauer der Überwachung darf die für die Ausreise der Person unbedingt erforderliche Zeit, in jedem Fall 24 Stunden ab der Ankunft am Flughafen, nicht überschreiten. Ist die ersuchte Vertragspartei mit diesem Vorschlag nicht einverstanden, muss die ersuchende Vertragspartei den Ausländer, um dessen Durchbeförderung sie ersucht hatte, unverzüglich oder im Falle von höherer Gewalt innerhalb einer neuen Frist von 24 Stunden wieder zurücknehmen. Die Verweigerung des Anbordgehens in einem Durchgangsstaat zieht dieselben Rechtsfolgen nach sich, wie sie die Gesetzgebung der ersuchenden Vertragspartei für den Fall einer solchen Verweigerung im eigenen Hoheitsgebiet vorsieht.
 

Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.
Dies ist keine amtliche Veröffentlichung. Massgebend ist allein die Veröffentlichung durch die Bundeskanzlei.