Internationales Recht 0.2 Privatrecht - Zivilrechtspflege - Vollstreckung 0.21 Personen-, Familien-, Erb- und Sachenrecht
Droit international 0.2 Droit privé - Procédure civile - Exécution 0.21 Droit des personnes, de la famille et des successions. Droits réels

0.211.231.011 Übereinkommen vom 19. Oktober 1996 über die Zuständigkeit, das anzuwendende Recht, die Anerkennung, Vollstreckung und Zusammenarbeit auf dem Gebiet der elterlichen Verantwortung und der Massnahmen zum Schutz von Kindern (Haager Kindesschutzübereinkommen, HKsÜ)

0.211.231.011 Convention du 19 octobre 1996 concernant la compétence, la loi applicable, la reconnaissance, l'exécution et la coopération en matière de responsabilité parentale et de mesures de protection des enfants (CLaH 96)

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Art. 8

(1)  Ausnahmsweise kann die nach Artikel 5 oder 6 zuständige Behörde eines Vertragsstaats, wenn sie der Auffassung ist, dass die Behörde eines anderen Vertragsstaats besser in der Lage wäre, das Wohl des Kindes im Einzelfall zu beurteilen:

entweder diese Behörde unmittelbar oder mit Unterstützung der Zentralen Behörde dieses Staates ersuchen, die Zuständigkeit zu übernehmen, um die Schutzmassnahmen zu treffen, die sie für erforderlich hält;
oder das Verfahren aussetzen und die Parteien einladen, bei der Behörde dieses anderen Staates einen solchen Antrag zu stellen.

(2)  Die Vertragsstaaten, deren Behörden nach Absatz 1 ersucht werden können, sind:

a)
ein Staat, dem das Kind angehört;
b)
ein Staat, in dem sich Vermögen des Kindes befindet;
c)
ein Staat, bei dessen Behörden ein Antrag der Eltern des Kindes auf Scheidung, Trennung, Aufhebung oder Nichtigerklärung der Ehe anhängig ist;
d)
ein Staat, zu dem das Kind eine enge Verbindung hat.

(3)  Die betreffenden Behörden können einen Meinungsaustausch aufnehmen.

(4)  Die nach Absatz 1 ersuchte Behörde kann die Zuständigkeit anstelle der nach Artikel 5 oder 6 zuständigen Behörde übernehmen, wenn sie der Auffassung ist, dass dies dem Wohl des Kindes dient.

Art. 8

1.  À titre d’exception, l’autorité de l’État contractant compétente en application des art. 5 ou 6, si elle considère que l’autorité d’un autre État contractant serait mieux à même d’apprécier dans un cas particulier l’intérêt supérieur de l’enfant, peut:

soit demander à cette autorité, directement ou avec le concours de l’Autorité centrale de cet État, d’accepter la compétence pour prendre les mesures de protection qu’elle estimera nécessaires;
soit surseoir à statuer et inviter les parties à saisir d’une telle demande l’autorité de cet autre État.

2.  Les États contractants dont une autorité peut être requise ou saisie dans les conditions fixées au paragraphe précédent sont:

a.
un État dont l’enfant possède la nationalité;
b.
un État dans lequel sont situés des biens de l’enfant;
c.
un État dont une autorité est saisie d’une demande en divorce ou séparation de corps des parents de l’enfant, ou en annulation de leur mariage;
d.
un État avec lequel l’enfant présente un lien étroit.

3.  Les autorités concernées peuvent procéder à un échange de vues.

4.  L’autorité requise ou saisie dans les conditions prévues au par. 1 peut accepter la compétence, en lieu et place de l’autorité compétente en application des art. 5 ou 6, si elle considère que tel est l’intérêt supérieur de l’enfant.

 

Dies ist keine amtliche Veröffentlichung. Massgebend ist allein die Veröffentlichung durch die Bundeskanzlei.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.