Internationales Recht 0.1 Internationales Recht im Allgemeinen 0.14 Staatsangehörigkeit. Niederlassung und Aufenthalt
Droit international 0.1 Droit international public général 0.14 Nationalité. Établissement et séjour

0.142.116.919 Abkommen vom 27. Juli 2004 zwischen dem Schweizerischen Bundesrat und der Regierung der Republik Slowenien über die Rückübernahme von Personen mit unbefugtem Aufenthalt (mit Prot.)

0.142.116.919 Accord du 27 juillet 2004 entre le Conseil fédéral suisse et le gouvernement de la République de Slovénie relatif à la réadmission de personnes en situation irrégulière (avec prot.)

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Art. 3

(1)  Wird die Staatsangehörigkeit auf Grund der im Protokoll aufgeführten Dokumente und Informationen vermutet, stellen die Konsularbehörden der ersuchten Vertragspartei innerhalb von drei Arbeitstagen der zu übernehmenden Person das für ihre Rückführung erforderliche Passersatzpapier (Laissez-passer) aus.

(2)  Wird die Staatsangehörigkeit der Person durch die vorgelegten Dokumente nicht nachgewiesen oder einsichtig glaubhaft gemacht, führen die Konsularbehörden der ersuchten Vertragspartei innerhalb von sechs Arbeitstagen nach Eingang des Rückübernahmegesuchs bei der ersuchten Vertragspartei eine Anhörung der zu übergebenden Person durch. Diese Anhörung wird von der ersuchenden Vertragspartei in Absprache mit der zuständigen Konsularbehörde so rasch wie möglich durchgeführt.

(3)  Wird bei der Anhörung durch das Konsulat der ersuchten Vertragspartei die Staatsangehörigkeit der zu übergebenden Person festgestellt oder einsichtig glaubhaft gemacht, stellt das Konsulat unverzüglich, in jedem Fall aber spätestens innerhalb von neun Arbeitstagen nach Eingang des Rückübernahmegesuchs ein Passersatzpapier (Laissez-passer) aus.

Art. 3

(1)  Lorsque la nationalité est présumée sur la base des documents et des informations mentionnés dans le Protocole, les autorités consulaires de la Partie contractante requise délivrent dans un délai de trois jours ouvrables un laissez-passer permettant la réadmission de la personne concernée.

(2)  Si la nationalité d’une personne ne peut pas être établie ou valablement présumée sur la base des documents fournis, les autorités consulaires de la Partie contractante requise procèdent dans un délai de six jours ouvrables à compter de la réception de la demande de réadmission à l’audition de l’intéressé. Cette audition est organisée par la Partie contractante requérante en accord avec l’autorité consulaire concernée dans les délais les plus brefs.

(3)  Lorsqu’à l’issue de cette audition, il est établi ou valablement présumé que la personne dans le processus de réadmission possède la nationalité de la Partie contractante requise, le laissez-passer est aussitôt délivré par les autorités consulaires et, en tout état de cause, avant l’expiration d’un délai de neuf jours ouvrables à compter de la réception de la demande de réadmission.

 

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